Fier de vous présenter mon nouveau roman "La Supercherie"

Comment seriez-vous si vous sortiez d'un long coma et devenu amnésique suite à un accident d'automobile ? C'est le thème de ce roman

http://www.leseditionsdunet.com/roman/3306-la-supercherie-michel-garreau-9782312031002.html

Mes lecteurs jugent l'Espagnol

L'Espagnol m'a valu une nuit presque blanche! Excellent roman qui tient en haleine jusqu'à la fin!
Alors je relève deux points qui m'ont étonné: je n'ai jamais connu d'arbre sur la place de l'église de Loudéac, et pour moi les pommiers ne sont pas" blancs immaculés" mais bien teintés de rose.
Bien sûr ceci n'est qu'anecdotes et je confirme: ton livre m'a passionné! A quand le prochain?
Jackie J.
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Une saga qui débute avec la guerre d'Espagne et se termine par des satellites de télécommunications Espagnol en passant par Broadchurch, les déviances des hommes d'église, l'internement dans les camps, Guy Moquet, la collaboration et les actes de résistance. En un roman, nous faisons le tour d'une histoire encore récente et quelques fois douloureuse ..
Un style clair et limpide, un peu classique qui est plaisant à lire. Une construction au contraire très dynamique et moderniste façon 24h Chrono. Bref un bon roman qui se laisse dévoré et nous nous tient  en haleine jusqu'au bout . Je le recommande
Jean pierre C.
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 Je viens de terminer "L'Espagnol" : une fois commencé, ça va très vite. On est bien attrapé par l'histoire palpitante de Manuel, c'est un vrai thriller, et puis tous les détails historiques et géographiques que tu as mis en fond sont très intéressants, surtout bien sûr quand on a quelques connexions avec la Bretagne (j'ai eu plaisir à retrouver des Guéguen, Quémeneur, Legall, ... je me suis retrouvé au lycée de Lorient). Bravo. Connais-tu "Antoine et Isabelle" de Vincent Borel? Il a mixé l'histoire de sa propre famille espagnole et de la famille lyonnaise Gillet (Rhodiaceta). J'y ai repensé en lisant ton livre car on sent que, toi aussi, tu as mélangé des histoires vraies et des souvenirs personnels (comme tous les grands écrivains,...)
Pierre V.
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Je viens de finir ton livre « L’Espagnol » il y a quelques jours : bravo , un beau roman à suspense. Je me suis vraiment régalé : beau scénario, captivant, avec des personnages bien ciselés et des descriptions de paysage ou de lieux qui montrent que tu connais bien ces endroits ou que tu as dû faire un travail de recherche ; surement beaucoup de boulot. Et puis il y a aussi le contexte historique dans lequel tu situes l’action. En tout cas j’ai passé un très bon moment de lecture.
Jean-François B.
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"Juste pour dire que j'ai lu le livre de Michel, l'Espagnol et que je l'ai beaucoup aimé.
Pour un coup d'essai ce fut un coup de maître, et cela vaut largement l'investissement.
Michel, après un coup du pub comme ça, j'espére au moins 10% sur les bénéfices qui en découleront ce qui, pour n achats devrait représenter n(12-12)... Eh bien, il ne me reste plus qu'à te souhaiter que n tende vers l'infini, si je veux pouvoir espérer investir avec cet argent dans un autre de tes livres! Au fait lequel me recommandes-tu?
Sébastien P."
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Je viens de terminer la lecture de ton roman “l’Espagnol”. J’ai beaucoup aimé et cela m’a rappelé l’ambiance des années d’après-guerre en pays rural telle que l’évoquaient mes parents et grand-parents : les maquis d’Auvergne, les exactions de l’occupant, les miliciens et les règlements de compte à la libération,...L’intrigue suit un cours logique, mais je me demande pourquoi l’instituteur rencontre l’abbé pour lui dire qu’il croit connaître l’assassin de la fillette : est-ce pour lui donner une chance de se dénoncer de lui-même ? En te remerciant pour ces bons moments de lecture.
Jacques B.
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Je viens de terminer la lecture de « L’espagnol ». Ce roman est superbe. Je me suis régalé et ma femme piétinait  d’impatience pour le lire à son tour. Je suis impressionné par ta connaissance de la vie dans les villages dans les années quarante. En te lisant, je revivais ces moments d’incertitude et aussi et d’inquiétude que mes parents traversaient et que nous ressentions également. Je me souviens en particulier de l’obligation que nous avions eue, étant à mon école primaire de campagne,  d’aller à Agen pour applaudir le Maréchal Pétain. Encore bravo mon cher Michel.

Georges